Description
Description :
Un classique enfin traduit en français : après Les Limites à la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows nous initie à la pensée systémique.
Un outil indispensable pour répondre aux nombreux défis environnementaux, politiques, économiques et sociaux actuels.
Livre concis et crucial, Pour une pensée systémique offre un aperçu de la résolution de problèmes à des échelles allant du niveau personnel au niveau mondial. Écrit par Donella Meadows entre 1972 et 1993 et édité en 2008 par le Sustainability Institute, cet ouvrage extrait la pensée systémique du domaine informatique et mathématique pour la rendre tangible et concrète. En effet, certains des plus grands problèmes auxquels le monde est confronté – la guerre, la faim, la pauvreté et la dégradation de l’environnement – sont essentiellement dus à des défaillances de systèmes. Ils ne peuvent être résolus en se préoccupant d’une pièce isolément des autres, car même des détails apparemment mineurs ont le pouvoir de saper les meilleurs efforts d’une pensée trop étroite, « en silo ». Il s’agit au contraire de prendre en compte la totalité des faits d’un système complexe, en tant que parties intégrantes d’un ensemble dont les différentes composantes sont dans une relation d’interdépendance.
À l’aide d’exemples simples, et non sans humour, Donella Meadows rend accessibles des concepts aussi complexes que « boucle de rétroaction » ou « équilibre dynamique ». Mais si elle présente les outils de la pensée systémique, dont les moyens de réparer les systèmes dysfonctionnels, elle rappelle aussi au lecteur de prêter attention à ce qui est important, et pas seulement à ce qui est quantifiable, de rester humble et de continuer à apprendre. Dans un monde de plus en plus compliqué et interdépendant, Pour une pensée systémique aide à éviter la confusion et l’impuissance, première étape vers la recherche de solutions proactives et efficaces.
Avec une préface inédite de Dennis Meadows
Postfaces de Bruno Lhoste et Baptiste Perrissin-Fabert
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Marianne Bouvier
4e de couverture :
Un classique enfin traduit en français : après Les Limites à la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows nous initie à la pensée systémique.
Un outil indispensable pour répondre aux nombreux défis environnementaux, politiques, économiques et sociaux actuels.
Livre concis et crucial, Pour une pensée systémique offre un aperçu de la résolution de problèmes à des échelles allant du niveau personnel au niveau mondial. Écrit par Donella Meadows entre 1972 et 1993 et édité en 2008 par le Sustainability Institute, cet ouvrage extrait la pensée systémique du domaine informatique et mathématique pour la rendre tangible et concrète. En effet, certains des plus grands problèmes auxquels le monde est confronté – la guerre, la faim, la pauvreté et la dégradation de l’environnement – sont essentiellement dus à des défaillances de systèmes. Ils ne peuvent être résolus en se préoccupant d’une pièce isolément des autres, car même des détails apparemment mineurs ont le pouvoir de saper les meilleurs efforts d’une pensée trop étroite, « en silo ». Il s’agit au contraire de prendre en compte la totalité des faits d’un système complexe, en tant que parties intégrantes d’un ensemble dont les différentes composantes sont dans une relation d’interdépendance.
À l’aide d’exemples simples, et non sans humour, Donella Meadows rend accessibles des concepts aussi complexes que « boucle de rétroaction » ou « équilibre dynamique ». Mais si elle présente les outils de la pensée systémique, dont les moyens de réparer les systèmes dysfonctionnels, elle rappelle aussi au lecteur de prêter attention à ce qui est important, et pas seulement à ce qui est quantifiable, de rester humble et de continuer à apprendre. Dans un monde de plus en plus compliqué et interdépendant, Pour une pensée systémique aide à éviter la confusion et l’impuissance, première étape vers la recherche de solutions proactives et efficaces.
Avec une préface inédite de Dennis Meadows
Postfaces de Bruno Lhoste et Baptiste Perrissin-Fabert
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Marianne Bouvier