Description
Résumé :
Dans le cadre de son 20e anniversaire, l’association Colères du présent, a imaginé avec les éditions invenit une opération unique pour prolonger les débats et les propositions artistiques et littéraires qui fourmillent tous les ans au Salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d’Arras. Au fil des cinq chapitres – repousser, rencontrer, éprouver, sauvegarder, coopérer – le mook Nos mondes sauvages invite à repenser nos mondes à la lumière d’une notion polysémique et fondatrice dans l’histoire de la pensée, pure création culturelle : le sauvage.
Que reste-t-il aujourd’hui du monde sauvage tel qu’on l’a perçu et façonné pendant des siècles ? Des forêts de nuages et du bison d’Europe ? Que dit de nous et de nos sociétés contemporaines cette vision biaisée par nos imaginaires occidentaux ? Se pourrait-il que le sauvage soit en réalité enterré, travesti, en nous-même et dans nos rapports sociaux ? En associant artistes, auteurs et autrices de toute discipline (fiction, essai, poésie, photographie, illustration, bande dessinée), dont Guillaume Logé, Derf Backderf ou encore Panda Diouf, Nos mondes sauvages entend bien questionner cette notion plurielle.
Une notion qui, longtemps réduite à l’alterité, nous pousse à l’introspection et nous confronte, collectivement, aux limites sociales, écologiques et économiques de notre époque.
Que reste-t-il aujourd’hui du monde sauvage tel qu’on l’a perçu et façonné pendant des siècles ? Des forêts de nuages et du bison d’Europe ? Que dit de nous et de nos sociétés contemporaines cette vision biaisée par nos imaginaires occidentaux ? Se pourrait-il que le sauvage soit en réalité enterré, travesti, en nous-même et dans nos rapports sociaux ? En associant artistes, auteurs et autrices de toute discipline (fiction, essai, poésie, photographie, illustration, bande dessinée), dont Guillaume Logé, Derf Backderf ou encore Panda Diouf, Nos mondes sauvages entend bien questionner cette notion plurielle.
Une notion qui, longtemps réduite à l’alterité, nous pousse à l’introspection et nous confronte, collectivement, aux limites sociales, écologiques et économiques de notre époque.