Description
Résumé :
Quel est cet ovni juridique, né en 1917, qu’on appelle la Sapo, la société anonyme à participation ouvrière ? Ce statut méconnu, peu utilisé pendant plus d’un siècle, présente pourtant une modernité et un intérêt qui peuvent aujourd’hui le rendre attractif et pertinent pour une économie plus juste et équitable. De quoi lui donner une nouvelle jeunesse ! Roger Daviau, accompagnateur à la création et reprise d’entreprises pendant près de 24 ans et fondateur-gérant de deux coopératives, s’est passionné pour ce statut qui vise à unir capital et travail en créant, à côté des actions de capital, “des actions de travail” .
Celles-ci permettent aux salariés d’accéder aux organes de direction des entreprises et de bénéficier de la distribution de dividendes. Une utopie ? Non, une réalité qu’ont expérimenté de trop rares entreprises comme les quatre que nous fait rencontrer l’auteur dans ce livre. Ce dernier est aussi une introduction historique, juridique et économique à la Sapo. Ce faisant, il souhaite faire découvrir cette formule juridique et inciter les créateurs d’entreprise soucieux de participation, les entrepreneurs qui veulent impliquer davantage leurs salariés à leurs côtés ou les porteurs de projets de reprise d’entreprise par les salariés, à l’utiliser davantage.
“Le livre de Roger Daviau est en premier lieu un plaidoyer et un guide de fondation d’une Sapo. Et il touche parfaitement son but : il faut lire son ouvrage pour découvrir ce statut et s’en emparer”. Jean-François Draperi
Celles-ci permettent aux salariés d’accéder aux organes de direction des entreprises et de bénéficier de la distribution de dividendes. Une utopie ? Non, une réalité qu’ont expérimenté de trop rares entreprises comme les quatre que nous fait rencontrer l’auteur dans ce livre. Ce dernier est aussi une introduction historique, juridique et économique à la Sapo. Ce faisant, il souhaite faire découvrir cette formule juridique et inciter les créateurs d’entreprise soucieux de participation, les entrepreneurs qui veulent impliquer davantage leurs salariés à leurs côtés ou les porteurs de projets de reprise d’entreprise par les salariés, à l’utiliser davantage.
“Le livre de Roger Daviau est en premier lieu un plaidoyer et un guide de fondation d’une Sapo. Et il touche parfaitement son but : il faut lire son ouvrage pour découvrir ce statut et s’en emparer”. Jean-François Draperi
