Description
Résumé :
Si le battement d’ailes du papillon au Brésil peut provoquer une tornade au Texas, celui du jet privé au Bourget a des répercussions sur un riziculteur en Thaïlande… Notre alimentation, mondialisée et marchandisée, est à la merci d’un système de pénurie organisée qui donne l’illusion de l’abondance, et où la surproduction profite à une minorité, appuyée par la classe politique, qui se gave sur le dos des classes laborieuses.
La maison brûle, eux surveillent le minuteur pour savoir quand ce sera cuit ! L’alimentation est pourtant un outil de transformation sociale puissant, essentiel à la lutte des classes qui est aussi une lutte des casseroles. Des festins de ministres aux aides alimentaires, des burgers à la truffe à l’accaparement des terres, du brevetage du vivant au monopole du bon goût, en passant par la grossophobie, l’agro-business, le Nutri-score ou les scandales sanitaires, la nourriture est un plaisir pour qui en a les moyens, mais aussi un instrument de pouvoir et de coercition, qui laisse sur leur faim les plus démuni·es…
Après Faiminisme (2017) et Steaksisme (2021), Nora Bouazzouni pose la question qui tue : et si le temps était venu de manger les riches ? Manger les riches, c’est faire ripaille de leurs privilèges, s’attaquer à la maladie plutôt qu’aux symptômes, trouver la recette d’un monde plus juste, pour tout le monde. Et en plus, c’est zéro déchet.
La maison brûle, eux surveillent le minuteur pour savoir quand ce sera cuit ! L’alimentation est pourtant un outil de transformation sociale puissant, essentiel à la lutte des classes qui est aussi une lutte des casseroles. Des festins de ministres aux aides alimentaires, des burgers à la truffe à l’accaparement des terres, du brevetage du vivant au monopole du bon goût, en passant par la grossophobie, l’agro-business, le Nutri-score ou les scandales sanitaires, la nourriture est un plaisir pour qui en a les moyens, mais aussi un instrument de pouvoir et de coercition, qui laisse sur leur faim les plus démuni·es…
Après Faiminisme (2017) et Steaksisme (2021), Nora Bouazzouni pose la question qui tue : et si le temps était venu de manger les riches ? Manger les riches, c’est faire ripaille de leurs privilèges, s’attaquer à la maladie plutôt qu’aux symptômes, trouver la recette d’un monde plus juste, pour tout le monde. Et en plus, c’est zéro déchet.