Description
Résumé :
Lorsqu’en 1962 l’Algérie accède à son indépendance, la population hérite d’un espace façonné pendant 132 ans par l’architecture de l’Etat colonial français. De façon inédite dans l’histoire, un peuple va concrètement habiter l’indépendance, en investissant massivement un environnement bâti pour l’exclure, voire lui nuire. Ancré plus particulièrement à Alger, cet ouvrage revient sur les conditions d’une expérimentation urbaine et questionne la composante coloniale de l’architecture et de son enseignement, au fil du temps, dans les corpus français comme algériens.
Fruit d’une réflexion collective transdisciplinaire qui ose aborder des sujets peu traités, de l’architecture carcérale à la trajectoire de la statuaire coloniale, cette exploration critique de l’aménagement d’Alger entend mettre en lumière les pratiques de la ville par les personnes qui l’habitent.
Fruit d’une réflexion collective transdisciplinaire qui ose aborder des sujets peu traités, de l’architecture carcérale à la trajectoire de la statuaire coloniale, cette exploration critique de l’aménagement d’Alger entend mettre en lumière les pratiques de la ville par les personnes qui l’habitent.