Description
Résumé :
A l’heure où nous sommes obligés de reconsidérer nos manières de voyager, Aude Vidal pointe les dégâts écologiques, culturels et sociaux que nous causons quand nous satisfaisons notre « besoin d’ailleurs », en France ou à l’étranger. Pourquoi voyager aujourd’hui ? Comment lutter contre les ravages du surtourisme et les effets pervers de certaines initiatives de préservation de l’environnement ? Est-il éthique de promouvoir le « dark tourism » sur les lieux de traumatismes, ou le « begpacking » (mendicité nomade) de jeunes Blanc.
hes à Kuala Lumpur ? Penser le tourisme et le voyage modernes, c’est penser une « économie du surplus » qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, et c’est s’attaquer aux inégalités qui minent le monde.
hes à Kuala Lumpur ? Penser le tourisme et le voyage modernes, c’est penser une « économie du surplus » qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, et c’est s’attaquer aux inégalités qui minent le monde.