Description
Résumé :
Une femme coréenne en proie à des doutes existentiels dans la Corée d’aujourd’hui , une société ultralibérale qui laisse de nombreuses personnes dans la précarité. Yeong-jin, jeune quarantenaire, enseigne dans un lycée privé protestant de Séoul. Elle est confrontée à des violences sociales de toute part. Non titulaire, elle se sent obligée, pour conserver son poste, d’accepter tout ce que lui demande son employeur.
Submergée de travail – elle s’occupe aussi des enfants de sa soeur pendant ses vacances – elle souffre de n’avoir aucune reconnaissance de sa hiérarchie. Son petit ami travaille dans une association d’aide aux travailleurs migrants qui se font exploiter par les agriculteurs coréens dans des conditions qui frôlent l’esclavagisme. Sa mère continue à faire les ménages bien qu’ayant l’âge de la retraite.
Et Yeong-jin vient de subir un hystérectomie… La violence de la société libérale l’affecte de plus en plus et l’amène à se poser des questions sur son rapport au travail, sur sa relation avec ses parents et sur l’avenir de son couple. Superbe portrait d’une femme en révolte, La capacité de survie est une réflexion très personnelle, politique et sociale, sur l’état d’un pays et l’état d’une femme.
Submergée de travail – elle s’occupe aussi des enfants de sa soeur pendant ses vacances – elle souffre de n’avoir aucune reconnaissance de sa hiérarchie. Son petit ami travaille dans une association d’aide aux travailleurs migrants qui se font exploiter par les agriculteurs coréens dans des conditions qui frôlent l’esclavagisme. Sa mère continue à faire les ménages bien qu’ayant l’âge de la retraite.
Et Yeong-jin vient de subir un hystérectomie… La violence de la société libérale l’affecte de plus en plus et l’amène à se poser des questions sur son rapport au travail, sur sa relation avec ses parents et sur l’avenir de son couple. Superbe portrait d’une femme en révolte, La capacité de survie est une réflexion très personnelle, politique et sociale, sur l’état d’un pays et l’état d’une femme.