Description
Résumé :
FéminiSpunk est une fabulation à la Fi? Brindacier, qui raconte l’histoire, souterraine et infectieuse, des petites ?lles ayant choisi d’être pirates plutôt que de devenir des dames bien élevées. Désirantes indésirables, nous sommes des passeuses de contrebande. Telle est notre ?ction politique, le récit qui permet à l’émeute intérieure de transformer le monde en terrain de jeu. Aux logiques de pouvoir, nous opposons le rapport de forces.
A la cooptation, nous préférons la contagion. Aux identités, nous répondons par des af?nités. Entre une désexualisation militante et une pansexualité des azimuts, ici, on appelle ” ?lle ” toute personne qui dynamite les catégories de l’étalon universel : meuf, queer, butch, trans, queen, drag, fem, witch, sista, freak… Ici, rien n’est vrai, mais tout est possible. Contre la mascarade féministe blanche néolibérale, FéminiSpunk mise sur la porosité des imaginaires, la complicité des intersections, et fabule une théorie du pied de nez.
Irrécupérables !
A la cooptation, nous préférons la contagion. Aux identités, nous répondons par des af?nités. Entre une désexualisation militante et une pansexualité des azimuts, ici, on appelle ” ?lle ” toute personne qui dynamite les catégories de l’étalon universel : meuf, queer, butch, trans, queen, drag, fem, witch, sista, freak… Ici, rien n’est vrai, mais tout est possible. Contre la mascarade féministe blanche néolibérale, FéminiSpunk mise sur la porosité des imaginaires, la complicité des intersections, et fabule une théorie du pied de nez.
Irrécupérables !