Description
Résumé :
Comment conjurer l’effondrement d’un monde arrivé à ses limites ? Que ferons-nous du ” jour d’après ” la crise du Covid-19, sachant que le dérèglement climatique et la chute de la biodiversité sont toujours à l’oeuvre et qu’ils restent la principale menace pour l’espèce humaine ? Comment conjurer l’effondrement d’un monde arrivé à ses limites ? Que ferons-nous du ” jour d’après ” la crise du Covid-19, sachant que le dérèglement climatique et la chute de la biodiversité sont toujours à l’oeuvre et qu’ils restent la principale menace pour l’espèce humaine ? Il serait suicidaire de nous acharner à poursuivre le même mode de vie, destructeur et inégal.
Mais nous reste-t-il assez de lucidité pour sortir d’un déni qui laisse la porte ouverte aux marchands de fin du monde et aux populistes ? Comment dessiner un monde soutenable et désirable ? Noël Mamère répond à ces questions en tissant un lien entre les alertes des penseurs de l’écologie du XXe siècle, tels Bernard Charbonneau et Jacques Ellul, et la colère salutaire de la ” génération climat “, consciente qu’il n’y a pas de ” planète B “.
Ses propres combats de terrain et son expérience d’écologiste nourrissent une réflexion argumentée sur le rôle que doit jouer l’écologie politique aujourd’hui. Sur l’une des issues de secours à l’impasse dans laquelle nous nous trouvons, il est écrit ” écologie ” : c’est par là qu’il faut passer !
Mais nous reste-t-il assez de lucidité pour sortir d’un déni qui laisse la porte ouverte aux marchands de fin du monde et aux populistes ? Comment dessiner un monde soutenable et désirable ? Noël Mamère répond à ces questions en tissant un lien entre les alertes des penseurs de l’écologie du XXe siècle, tels Bernard Charbonneau et Jacques Ellul, et la colère salutaire de la ” génération climat “, consciente qu’il n’y a pas de ” planète B “.
Ses propres combats de terrain et son expérience d’écologiste nourrissent une réflexion argumentée sur le rôle que doit jouer l’écologie politique aujourd’hui. Sur l’une des issues de secours à l’impasse dans laquelle nous nous trouvons, il est écrit ” écologie ” : c’est par là qu’il faut passer !