Description
Résumé :
De la commune d’Etterbeek à celle de Schaerbeek, de la place Royale au parc du Cinquantenaire, Nicholas Lewis nous guide lors d’une déambulation sensible dans les rues de Bruxelles afin d’examiner en profondeur le rapport qu’entretient la société belge à son histoire coloniale. La présence durable de noms de rues, de monuments, de bâtiments et d’institutions glorifiant explicitement la colonisation du Congo constitue un point d’entrée pour regarder en face les déclinaisons de la négrophobie contemporaine.
L’ouvrage formule ainsi une remise en question radicale des structures du pouvoir colonial et racial à travers une critique politique et esthétique de l’espace public bruxellois. Images, cartes et archives se mêlent à un corpus de textes et d’interventions visuelles de six protagonistes majeurs de la scène artistique, militante et universitaire belge : Laura Nsengiyumva, Anne Wetsi Mpoma, Véronique Clette-Gakuba, Georgine Dibua Mbombo, Joëlle Sambi Nzeba, et François Makanga.
L’ouvrage formule ainsi une remise en question radicale des structures du pouvoir colonial et racial à travers une critique politique et esthétique de l’espace public bruxellois. Images, cartes et archives se mêlent à un corpus de textes et d’interventions visuelles de six protagonistes majeurs de la scène artistique, militante et universitaire belge : Laura Nsengiyumva, Anne Wetsi Mpoma, Véronique Clette-Gakuba, Georgine Dibua Mbombo, Joëlle Sambi Nzeba, et François Makanga.