Description
Résumé :
Pauvreté et malnutrition généralisées, crise migratoire, creusement des inégalités sociales, polarisation extrême de l’économie… Telle est notre réalité quotidienne, alors que 1 % de la population de la planète a conduit la Terre – et ses sept milliards d’habitants – à la catastrophe sociale et écologique. Dans cet essai à la fois inspiré et très documenté, Vandana Shiva se confronte au club des milliardaires – Gates, Buffet, Zuckerberg et autres empereurs modernes – et dénonce l’impact destructeur du modèle de développement économique linéaire poursuivi par les multinationales qu’ils ont créées.
Car leur quête insatiable du profit a instauré de manière antidémocratique l’uniformité et les monocultures, la division et la séparation, les monopoles et la domination des uns par les autres – et ce, dans des domaines aussi divers que la finance, l’alimentation, l’énergie, l’information, la santé et même les relations humaines. Se fondant sur des faits souvent méconnus – et en particulier sur le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates -, Vandana Shiva analyse comment la soi-disant “philanthropie” est devenue le moyen de contourner les structures démocratiques, d’empêcher la diversité et d’imposer des idées totalitaires, portées par une vision unique de la science, de l’agriculture et de l’histoire.
Elle appelle à la “résurgence du savoir réel, de l’intelligence réelle, de la richesse réelle, du travail réel, du bien-être réel”, afin que chacun d’entre nous puisse revendiquer le droit à vivre, penser, respirer et manger librement.
Car leur quête insatiable du profit a instauré de manière antidémocratique l’uniformité et les monocultures, la division et la séparation, les monopoles et la domination des uns par les autres – et ce, dans des domaines aussi divers que la finance, l’alimentation, l’énergie, l’information, la santé et même les relations humaines. Se fondant sur des faits souvent méconnus – et en particulier sur le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates -, Vandana Shiva analyse comment la soi-disant “philanthropie” est devenue le moyen de contourner les structures démocratiques, d’empêcher la diversité et d’imposer des idées totalitaires, portées par une vision unique de la science, de l’agriculture et de l’histoire.
Elle appelle à la “résurgence du savoir réel, de l’intelligence réelle, de la richesse réelle, du travail réel, du bien-être réel”, afin que chacun d’entre nous puisse revendiquer le droit à vivre, penser, respirer et manger librement.