Description
Description :
Pourquoi les sciences du vivant ne parlent-elles jamais de la beauté du vivant ? Pourquoi les scientifiques, qui connaissent cette beauté, sont-ils muets à son sujet ? Tout se passe comme si la beauté du monde animal, végétal ou minéral ne méritait pas que l’on s’y penche rationnellement.
Dans ce livre contemplatif, sous forme d’enquête et de déambulation entre les lignées de l’évolution, Francis Hallé nous prouve le contraire : la beauté a une signification de premier ordre dans le vivant, et il est grand temps de s’y pencher. La Beauté du vivant est le texte d’un naturaliste passionné, qui démontre que toute compréhension du monde commence par l’amour et l’observation attentive de ses formes, même les plus simples.
Un livre à la fabrication soignée, magnifiquement illustré.
4e de couverture :
Pourquoi les sciences du vivant ne parlent-elles jamais de la beauté du vivant ? Pourquoi les scientifiques, qui connaissent cette beauté, sont-ils muets à son sujet ? Tout se passe comme si la beauté du monde animal, végétal ou minéral ne méritait pas que l’on s’y penche rationnellement.
Dans ce livre contemplatif, sous forme d’enquête et de déambulation entre les lignées de l’évolution, Francis Hallé nous prouve le contraire : la beauté a une signification de premier ordre dans le vivant, et il est grand temps de s’y pencher. La Beauté du vivant est le texte d’un naturaliste passionné, qui démontre que toute compréhension du monde commence par l’amour et l’observation attentive de ses formes, même les plus simples.
Un livre à la fabrication soignée, magnifiquement illustré.
Notes Biographiques :
Botaniste et biologiste, Francis Hallé est spécialiste des arbres et des forêts tropicales. Il a été professeur aux universités d’Orsay (1960), de Brazzaville (1968), de Kinshasa (1970) et de Montpellier (1971-1999). Il est membre correspondant du Muséum national d’histoire naturelle de Paris et l’auteur de nombreuses publications, dont : «Le Radeau des cimes» (en collaboration avec Dany Cleyet-Marrel et Gilles Ebersolt, J.-C. Lattès, 2000), «Éloge de la plante» (Seuil, 1999), «Architectures de plantes» (JPC, 2004), «Plaidoyer pour l’arbre» (Actes Sud, 2005), «La Condition tropicale» (Actes Sud, 2010), Il était une forêt» (avec Luc Jacquet, Actes Sud, 2013), Plaidoyer pour la forêt tropicale» (Actes Sud, 2014).