Description
Résumé :
Après Paresse pour tous (20 000 lecteurs), la nouvelle utopie d’Hadrien Klent ! Paresse pour tous avait fait rêver avec un candidat à la présidentielle qui proposait qu’on ne travaille plus que 3 heures par jour. Avec La Vie est à nous, le rêve est devenu réalité, et c’est notre rapport au politique, toute notre vie, qui s’en trouvent changés. Qui aurait pu croire qu’on ne travaillerait plus que 3 heures par jour ? C’est pourtant bien ce qui arrive aux Franc ? ais depuis la victoire à l’élection présidentielle de l’économiste Emilien Long, qui a osé légaliser le droit à la paresse.
Mais dans une société libérée du joug du travail contraint, plus solidaire et horizontale, il reste bien des obstacles : lobbys agressifs, nantis révoltés, nostalgiques du monde ancien et opposants politiques démagogiques font feu de tout bois pour mettre à bas ce nouveau système. Ce nouveau président de la République peut-il vraiment inverser les priorités de notre société ? Y compris en remettant en cause sa propre place ? Partisan d’une utopie réaliste, Hadrien Klent nous avait proposé dans Paresse pour tous (Le Tripode, 2021) la vision réjouissante d’une société s’émancipant des mythologies du monde capitaliste.
Avec La Vie est à nous, il convoque le souvenir du Front populaire pour rappeler qu’il est possible de faire de la politique d’une fac ? on radicalement différente. Jusqu’à nous interroger sur notre rapport infantile au pouvoir : et s’il était temps de s’attaquer au fantasme, répandu en dictature comme en démocratie, de l’homme providentiel ?
Mais dans une société libérée du joug du travail contraint, plus solidaire et horizontale, il reste bien des obstacles : lobbys agressifs, nantis révoltés, nostalgiques du monde ancien et opposants politiques démagogiques font feu de tout bois pour mettre à bas ce nouveau système. Ce nouveau président de la République peut-il vraiment inverser les priorités de notre société ? Y compris en remettant en cause sa propre place ? Partisan d’une utopie réaliste, Hadrien Klent nous avait proposé dans Paresse pour tous (Le Tripode, 2021) la vision réjouissante d’une société s’émancipant des mythologies du monde capitaliste.
Avec La Vie est à nous, il convoque le souvenir du Front populaire pour rappeler qu’il est possible de faire de la politique d’une fac ? on radicalement différente. Jusqu’à nous interroger sur notre rapport infantile au pouvoir : et s’il était temps de s’attaquer au fantasme, répandu en dictature comme en démocratie, de l’homme providentiel ?