Description
Résumé :
Le “Buen Vivir”, que l’on peut traduire par “vie bonne” ou “bien vivre”, est un principe central de la vision du monde des peuples indigènes de la région andine. Véritable philosophie de vie, il est compris comme le vivre ensemble dans la diversité et l’harmonie avec la nature, pour reprendre les mots du préambule de la Constitution équatorienne. En rupture avec la dégradation engendrée par notre modèle économique, fondé sur la consommation et la croissance, il propose une alternative à l’idéologie du développement.
Et tandis qu’il se répand peu à peu en Amérique Latine, il trouve un écho de plus en plus large au sein de cercles de réflexion dans les pays occidentaux. A vocation universaliste, le Buen Vivir développe une démocratie d’un type nouveau qui, en plus de prendre en compte les générations futures, intègre les segments de la population historiquement exclus : les femmes, les immigrés, les habitants des quartiers populaires…
Dans ce livre, le premier en français sur cette pensée pionnière, Alberto Acosta présente le Buen Vivir comme une alternative à la folie de l’accumulation infinie de richesses matérielles qui a tout dévoré sur son passage, les humains comme la nature. Novateur et radical, le Buen Vivir demande une volonté politique inflexible, qu’il ne faut jamais considérer comme acquise, ainsi qu’Alberto Acosta a pu en faire l’expérience.
Et tandis qu’il se répand peu à peu en Amérique Latine, il trouve un écho de plus en plus large au sein de cercles de réflexion dans les pays occidentaux. A vocation universaliste, le Buen Vivir développe une démocratie d’un type nouveau qui, en plus de prendre en compte les générations futures, intègre les segments de la population historiquement exclus : les femmes, les immigrés, les habitants des quartiers populaires…
Dans ce livre, le premier en français sur cette pensée pionnière, Alberto Acosta présente le Buen Vivir comme une alternative à la folie de l’accumulation infinie de richesses matérielles qui a tout dévoré sur son passage, les humains comme la nature. Novateur et radical, le Buen Vivir demande une volonté politique inflexible, qu’il ne faut jamais considérer comme acquise, ainsi qu’Alberto Acosta a pu en faire l’expérience.