Description
Résumé :
La Terre brûle. Le travail ne s’arrête jamais, tout est devenu marchandise. En quête de survie et de liberté, un jeune philosophe japonais, né en 1987, lit les carnets d’un vieux philosophe allemand, mort en 1883. Il y découvre une pensée qui aurait tout pour sauver le monde entier. Rien de plus, tout au moins. S’appuyant sur les écrits tardifs inédits de Marx, Kôhei Saitô déconstruit le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés, et prône une société fondée sur les communs.
Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisationnel apparemment incompatible : le communisme de décroissance. Il aspire à la transformation du travail, à la démocratisation du processus de production, à la démarchandisation progressive, et à la mise en valeur des services essentiels. Multiplier les espaces de liberté, miser sur le partage, l’auto-limitation, la confiance et l’entraide, c’est dire si Kôhei Saitô croit en ses lecteurs.
Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisationnel apparemment incompatible : le communisme de décroissance. Il aspire à la transformation du travail, à la démocratisation du processus de production, à la démarchandisation progressive, et à la mise en valeur des services essentiels. Multiplier les espaces de liberté, miser sur le partage, l’auto-limitation, la confiance et l’entraide, c’est dire si Kôhei Saitô croit en ses lecteurs.