Description
Description :
« Nous étions dans la cafétéria lorsque la pluie se mit à tomber, au loin. Malgré la distance de plusieurs kilomètres, malgré toutes les barrières de protection et les vitres plombées, on la sentait venir, confusément, ne fût-ce qu’au léger tremblé qui affectait le paysage. Elle ne risquait pas de nous atteindre, pourtant les consommateurs attablés le long des parois extérieures de la cafétéria se replièrent d’instinct, cherchant refuge sous les palmiers en plastique. »
Dans un monde où la pluie est devenue toxique, les plus riches vivent dans le Centre, protégés de l’extérieur, tandis que les plus pauvres s’estiment heureux lorsqu’ils atteignent les trente ans. Greena, 16 ans, vit avec sa famille dans un quartier de la classe moyenne avec des cultures et un poulailler intérieurs. Être vendue à un homme du Centre étant la seule possibilité d’espérer une vie meilleure – sous cloche -, sa mère l’y emmène afin de rencontrer un prétendant…
À l’heure où les milliardaires construisent des bunkers de luxe et où les inégalités ne cessent de s’accentuer, le texte de Tanith Lee écrit en 1987 résonne de manière grinçante et émouvante.
4e de couverture :
« Nous étions dans la cafétéria lorsque la pluie se mit à tomber, au loin. Malgré la distance de plusieurs kilomètres, malgré toutes les barrières de protection et les vitres plombées, on la sentait venir, confusément, ne fût-ce qu’au léger tremblé qui affectait le paysage. Elle ne risquait pas de nous atteindre, pourtant les consommateurs attablés le long des parois extérieures de la cafétéria se replièrent d’instinct, cherchant refuge sous les palmiers en plastique. »
Dans un monde où la pluie est devenue toxique, les plus riches vivent dans le Centre, protégés de l’extérieur, tandis que les plus pauvres s’estiment heureux lorsqu’ils atteignent les trente ans. Greena, 16 ans, vit avec sa famille dans un quartier de la classe moyenne avec des cultures et un poulailler intérieurs. Être vendue à un homme du Centre étant la seule possibilité d’espérer une vie meilleure – sous cloche -, sa mère l’y emmène afin de rencontrer un prétendant…
À l’heure où les milliardaires construisent des bunkers de luxe et où les inégalités ne cessent de s’accentuer, le texte de Tanith Lee écrit en 1987 résonne de manière grinçante et émouvante.