Description
Résumé :
Partons à la découverte de fraises, de tomates – jamais hors-sol -, de choux, d’herbes aromatiques, de plantes d’agrément… qui obligent leurs partenaires humains à respecter leurs exigences pour grandir et prospérer. Les paysans et paysannes avec lesquels l’auteur va désherber, cueillir ou rempoter ne parlent jamais des rapports qu’ils entretiennent avec leurs plantes en termes de ” production “.
Dusan Kazic nous initie à leurs côtés à un monde où se tissent des liens qui donnent naissance à des familles multispécifiques. Les plantes ne sont pas (que) des êtres mangeables, mais des maîtres d’apprentissage, des êtres d’amour, des êtres de travail, des êtres de jeux, des êtres qui parlent à leur manière. Ecoutons ces histoires que l’auteur raconte avec passion ! Les paysans ” animent ” les plantes en tissant avec elles des liens sensibles qu’elles et ils cultivent en agriculture biologique, en conventionnelle, ou encore en agriculture ” raisonnée “.
Si l’on veut éviter que les terres ne tombent définitivement en ruine, chercher à ” produire autrement ” ne suffit pas. Il ne s’agit pas d’arrêter de nourrir les humains mais de commencer à penser une agriculture au travers des rapports coévolutifs que les humains entretiennent avec les plantes, une agriculture des relations. Dans l’héritage de Pierre Clastres, James Scott et Donna Haraway, l’auteur propose de rompre avec le paradigme de la production issu du savoir économique, qui mène à la destruction des paysans et de cette Terre, pour concevoir une agriculture et plus largement un monde sans production et sans économie.
Dusan Kazic nous initie à leurs côtés à un monde où se tissent des liens qui donnent naissance à des familles multispécifiques. Les plantes ne sont pas (que) des êtres mangeables, mais des maîtres d’apprentissage, des êtres d’amour, des êtres de travail, des êtres de jeux, des êtres qui parlent à leur manière. Ecoutons ces histoires que l’auteur raconte avec passion ! Les paysans ” animent ” les plantes en tissant avec elles des liens sensibles qu’elles et ils cultivent en agriculture biologique, en conventionnelle, ou encore en agriculture ” raisonnée “.
Si l’on veut éviter que les terres ne tombent définitivement en ruine, chercher à ” produire autrement ” ne suffit pas. Il ne s’agit pas d’arrêter de nourrir les humains mais de commencer à penser une agriculture au travers des rapports coévolutifs que les humains entretiennent avec les plantes, une agriculture des relations. Dans l’héritage de Pierre Clastres, James Scott et Donna Haraway, l’auteur propose de rompre avec le paradigme de la production issu du savoir économique, qui mène à la destruction des paysans et de cette Terre, pour concevoir une agriculture et plus largement un monde sans production et sans économie.