Description
Résumé :
Une invitation lyrique et pertinente à vivre une nouvelle manière d’être au monde ” Notre monde suffoque. Covid-19, réchauffement climatique, sixième extinction de masse, pollution atmosphérique… le monde suffoque d’une exploitation sans limites, d’une course effrénée aux richesses de la terre. Les sols s’appauvrissent, la biodiversité recule, des espèces disparaissent. Course au rendement, course contre la montre.
Tout s’accélère. Nous vivons à l’heure du présentisme. Que l’on se situe d’un point de vue social ou environnemental, l’urgence semble bien de construire un monde qui respire. Qui aspire à de nouvelles relations entre humains certes, mais aussi avec le reste du vivant. Modifier nos manières d’être et de faire ne peut se réaliser ni même se concevoir sans remettre en question les paradigmes et les croyances qui ont conduit à une telle situation.
Et l’un d’entre eux, aussi surprenant que cela puisse être, est celui de Nature, que la Modernité occidentale a forgé pour mieux exploiter la terre et une large part de l’humanité. Cet essai est une invitation à renouer avec notre condition cosmique pour dessiner une manière d’être au monde en vibrant avec le tout-vivant. Disons-le tout de suite, il ne s’agit pas tant d’être en harmonie avec le cosmos qu’en éveil, à l’écoute, dans l’attention.
D’entrer en résonance et de transformer l’écologie, étymologiquement ” logos de la maison, du foyer, de l’en-clos “, en une échologie pour sortir de soi, de chez soi, et habiter pleinement le monde et le cosmos, dans une relation de résonance, afin de faire monde(s). Nous ne sommes pas hors de l’univers ni dans l’univers. Nous sommes l’univers. Il est en nous et nous sommes en lui. Vivre pleinement, c’est ainsi entrer en relation pour être.
” Séverine Kodjo-Grandvaux
Tout s’accélère. Nous vivons à l’heure du présentisme. Que l’on se situe d’un point de vue social ou environnemental, l’urgence semble bien de construire un monde qui respire. Qui aspire à de nouvelles relations entre humains certes, mais aussi avec le reste du vivant. Modifier nos manières d’être et de faire ne peut se réaliser ni même se concevoir sans remettre en question les paradigmes et les croyances qui ont conduit à une telle situation.
Et l’un d’entre eux, aussi surprenant que cela puisse être, est celui de Nature, que la Modernité occidentale a forgé pour mieux exploiter la terre et une large part de l’humanité. Cet essai est une invitation à renouer avec notre condition cosmique pour dessiner une manière d’être au monde en vibrant avec le tout-vivant. Disons-le tout de suite, il ne s’agit pas tant d’être en harmonie avec le cosmos qu’en éveil, à l’écoute, dans l’attention.
D’entrer en résonance et de transformer l’écologie, étymologiquement ” logos de la maison, du foyer, de l’en-clos “, en une échologie pour sortir de soi, de chez soi, et habiter pleinement le monde et le cosmos, dans une relation de résonance, afin de faire monde(s). Nous ne sommes pas hors de l’univers ni dans l’univers. Nous sommes l’univers. Il est en nous et nous sommes en lui. Vivre pleinement, c’est ainsi entrer en relation pour être.
” Séverine Kodjo-Grandvaux